Abbé Aimé MAES

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Abbé Aimé MAES
 
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Je suis persuadé que mon Cher Oncle Abbé Aimé MAES veille encore avec Amour et Grâce sur tous ceux qui demandent de l’aide et se confie à Jean-Claude.
Certains passent un bon moment privilégié dans son fauteuil lors des consultations à St Omer.
Son corps repose près de ses parents, frères et soeurs au cimetière de TETEGHEM près de DUNKERQUE (59).
Il avait beaucoup d'admiration pour son aïeul prêtre, Amand-Dieudonné MAES, inhumé près de son oncle, prêtre, Amand-Fidèle DEKEISTER au cimetière de Vieux Berquin (59).
 
 
A l’ombre de la Croix, je repose et j’espère
Souvenez-vous dans vos prières de l’âme de
 
Maître Aimé MAES
 
Vice-Doyen Honoraire
Aumônier des Hospices Civils de Dunkerque
Né à Houmille le 16 novembre 1881, 
Ordonné prêtre le 22 décembre 1906
Successivement Vicaire à Pont de Nieppe, à Coudekerque-Branche.
Curé à St Pol sur Mer, Notre Dame de Lourdes en 1930.
Décédé à Warhem le 13 octobre 1939, administré des Sacrements de Notre Mère la Sainte Eglise.
 
« Etre prêtre, c’est commencer à souffrir »
 
Comme cela fut vrai pour le prêtre que Dieu vient de rappeler à lui ! Comme Jésus, son  Divin Maître, il fut prêtre et victime. Chaque jour de son sacerdoce a été consacré au service de Dieu et des âmes. Pour lui et pour elles, il a voulu se dépenser jusqu’à l’épuisement total de ses forces. Les dernières années de sa vie furent un long et douloureux calvaire. Il porta amoureusement sa croix faite de grandes et continuelles souffrances physiques et morales, jusqu’au jour, où, étendu sur son lit d’agonie, il put s’écrier : « Et maintenant, mon Jésus, je suis sur la croix avec Vous et pour Vous ». 
 
Quelques paroles de son testament spirituel :
 
O Jésus, parce Vous le voulez ainsi, j’accepte les souffrances incessantes que Vous m’avez envoyées. (Vous seul en connaissez l’acuité, l’amertume et la longueur), je les accepte pour obtenir une belle place au paradis où je retrouverai Papa et Maman.
Je remercie tous ceux qui au cours de ma vie m’ont entouré de leur soins, de leur aide et de leur affection, surtout mes deux sœurs : Irma et Lucie, ces deux anges de mon foyer si dévouées pour moi.
Je compte sur les prières nombreuses et ferventes de ma famille, de mon cher neveu séminariste, André, de tous ceux que j’ai connus et aimés ici-bas. 
 
Miséricordieux Jésus donnez-lui le repos éternel.