L'EAU PURIFIE ET GUERIT

Jean-Claude, magnétiseur-sourcier, a fait des expériences concluantes sur la dynamisation de l’eau, de fruits, de fleurs, de bacs de semis, etc … de quoi convaincre les plus sceptiques.

 Le texte suivant est extrait du livre "Les Energies vibratoires et le mystère de la vie " du Dr Hervé Staub aux Editions du ROCHER

         L’eau est omniprésente dans la nature, dans l’être humain ; en son absence, la maladie s’installe, la vie s’arrête. L’eau purifie et guérit. Dès l’Antiquité, les hommes avaient compris que l’eau douce comme celle de la mer pouvaient leur procurer des bienfaits. Platon, soigné et guéri par l’eau de mer, déclara que « la mer lave tous les maux des hommes ». Hippocrate avait pressenti l’action antiseptique de l’eau de mer fraîche sur les plaies et les lésions cutanées ; il recommandait également les bains d’eau de mer chauffée. La thalassothérapie avait déjà manifesté ses richesses. Le Moyen Age, avec toutes ses superstitions et les abus d’un certain pouvoir ecclésiastique, condamna l’usage des cures marines, car la mer était le royaume du diable. Il a fallu attendre le XVIIIe siècle pour que l’homme redécouvre l’intérêt de l’eau de mer. Enfin en 1822, Dieppe accueillit le premier centre de thalassothérapie en France . Depuis, les centres de cures se sont multipliés, aussi bien le long de l’océan Atlantique que de la Méditerranée.

         En 1895, René Quinton, s’appuyant sur les travaux de Claude Bernard, énonça la loi de constance marine et démontra que les liquides de l’organisme sont physiologiquement et chimiquement identiques à l’eau de mer. Sur ces bases, René Quinton et l’un de ses disciples, Louis Bagot, développèrent une série de protocoles thérapeutiques avec l’eau administrée sous forme buvable ou injectable. Les succès thérapeutiques furent nombreux et le sont toujours, notamment dans le domaine rhumatismal et dermatologique. A l’heure actuelle, on observe un regain d’intérêt pour le plasma de Quinton, facilement disponible, et toutes les thérapies à base d’eau de mer.

         Comme la thalassothérapie, le thermalisme en général remonte à un passé lointain et l’engouement qu’il suscite reste d’actualité. Il serait trop long de développer le thermalisme devant le nombre de ses indications et la particularité de l’eau de chaque station thermale. Toutefois, un dénominateur commun relie la thalassothérapie et le thermalisme d’eau douce. Certes, la composition de chaque eau constitue un élément essentiel de l’activité thérapeutique. Cependant, les différents oligo-éléments et minéraux composant chaque variété d’eau ne pourraient certainement pas développer intégralement leurs propriétés s’ils n’étaient pas activés par le  milieu aqueux. Le dénominateur commun se trouve là.

         En effet, quelle que soit son origine, l’eau subit une intense dynamisation. Dans la mer, le brassage des vagues, les tourbillons et les courants, ainsi que le rayonnement solaire et cosmique génèrent une grande énergie stockée dans la mémoire de l’eau. Pour les sources terrestres, le rayonnement électromagnétique et tellurique, selon la localisation de la source, confèrent à l’eau un potentiel dynamique transmis aux minéraux qu’elle contient. Cette observation explique pourquoi une eau minérale perd ses propriétés au plus tard deux semaines après avoir été mise en bouteille et que rien ne vaut de la boire directement à la source.