HABITAT "MALADE"

 

Extrait du recueil « Anticiper la maladie par détection au pendule » et en neutraliser les causes de Serge FITZ

 

 

Un habitat malade se caractérise par une série de symptômes. Ils vont du physique au psychologique. Ainsi, des points foudre, c’est-à-dire une tendance aux pannes électriques pendant les orages dénote la présence dans le sous-sol d’une faille tellurique. Les appareils électriques sautent. Parfois, on déplore des débuts d’incendie. On constate, également, des lézardes, des craquements, des plantes d’intérieur chétives, de l’humidité, la présence fréquente de fourmilières, une sensation de lourdeur dans les jambes et dans le jardin, des arbres noueux. Une maison malade occasionne des troubles physiologiques et psychologiques chez ses habitants. Parmi les symptômes courants, on peut citer : une fatigue au réveil s’aggravant dans le temps, des problèmes respiratoires chroniques, de la toux, des maux de gorge, de la sinusite, des migraines, des insomnies, des cauchemars, une irritabilité persistante, des raideurs dans la nuque, des enfants très agités et quelquefois la mort inexpliquée de nouveau-nés. Une maison malade ne possède pas de bouclier énergétique contrairement à une maison saine dotée d’une aura qui rayonne. Sa superficie se détecte au pendule ou bien avec des rad masters (baguettes coudées parallèles).